Swatch et Visa se lancent dans la montre de paiement sans contact
Les deux géants qui manquaient encore à l'appel sont enfin là, et alliés en plus. L'un, Swatch pour la montre connectée, et l'autre, Visa pour le paiement, et ça donne le paiement mobile via une montre connectée. En effet, Swatch, a signé une convention avec l'américain Visa, qui donne le jour à une montre conçue par l'horloger helvétique, et baptisée " Bellamy ", pouvant effectuer des paiements sans contact.
D'abord aux USA et en Suisse
Cette montre de dernière génération sera lancée aux USA et en Suisse. Très peu d'informations techniques, pour ne pas dire aucune, n'accompagne l'annonce de cette montre de paiement mobile, si ce n'est que les compléments d'information seront communiquées ultérieurement. La montre sera commercialisée dans les deux pays, cités précédemment dès le début 2016. Toutefois, la montre est déjà en vente sur le territoire chinois, suite à un accord signé entre Swatch et l'organisme de paiement local, la China Union Pay.
Pour ce qui est de la montre en elle-même, elle est analogique, et embarque un système de paiement mobile sans contact. Pour le design, on peut fort parier sur l'esthétique très connu de Swatch. Une information est toutefois à préciser : la montre paiement mobile restera exclusivement sur les montres Swatch, et ne concernera donc pas, les autres marques du groupe suisse, à savoir, Tissot et Omega. La Bellamy, est aussi surnommée la montre à paiement par poignet, fonctionnant exactement comme une carte en prépaiement, pouvant être rechargée, selon les besoins des utilisateurs, auprès de la banque.
Une donnée, assez curieuse d'ailleurs, c'est que la montre Bellamy est vendue en Chine pour 80 euros, mais le paiement mobile n'est pas encore opérationnel. Il le sera, paraît-il à partir de début janvier 2016, et disposera du large réseau chinois de la Bank of Communication. Enfin, Swatch manquait encore à l'appel des montres connectées, ce qui était surprenant, maintenant c'est réparé, et tant mieux pour l'innovation et la bonne concurrence.
