Orange et Bouygues Télécom se portent parties civiles dans le dossier des "cyber-criminels"
La semaine dernière, la gendarmerie de Marseille a démantelé un réseau de "cyber criminels", soupçonné d'avoir revendu des codes confidentiels servant à débloquer les téléphones mobiles.
Neuf personnes ont été arrêtées à Rennes, Toulon, Belfort, Lille et Orléans. Trois d’entre elles ont été présentées, ce lundi 4 octobre, devant le juge en charge de cette affaire.
Selon Jacques Dallest, le procureur de la République de Marseille, c’est l’opérateur de téléphonie mobile SFR, en 2009, qui a porté plainte, à Marseille, après avoir constaté des fuites avec pour origine « une source humaine ».
Les deux opérateurs, Bouygues et Orange, ont annoncé, la semaine dernière, qu’ils se portaient parties civiles dans ce dossier.