Entre stress et efficacité : comment les appareils connectés impactent notre vie professionnelle

Une récente étude menée à la demande d'Honor met en lumière l'impact physique et psychologique de l'utilisation intensive d'appareils connectés dans le cadre professionnel.

Le sondage mené auprès de 8 000 professionnels européens, dont 1 000 dans l'hexagone, confirme qu'un tiers des employés de bureau français utilise tout de même trois appareils ou plus durant sa journée de travail, notamment des ordinateurs portables, des tablettes, des écouteurs, et bien sûr un - voire plusieurs - smartphones.

Si 21% des sondés français admettent le rôle essentiel que jouent ces appareils dans l'amélioration de leur vie quotidienne, l'exposition à cette surcharge technologique reste source de stress et d'anxiété. Intéressant de noter que ce chiffre grimpe à 32% au niveau européen, révélant finalement la moindre " adhérence " française aux contraintes de la technologie. Côté notifications également, 22% se déclarent dépassés, mais seul un tiers dit en recevoir plus de 15 par jour, contre 42% en moyenne en Europe.

Lorsque l'on s'intéresse à la charge physique supportée pendant les trajets quotidiens, 12% des répondants européens se déclarent inquiets que les 5kg de moyenne de matériel technologique transporté nuise à leur santé - les français, eux, semblent le prendre plus à la légère puisque le chiffre est presque divisé par deux dans le pays (7%).

• La tendance du retour au bureau augmente la présence, les trajets et les voyages. Pour alléger leur charge, 1 répondant européen sur 4 confirme vouloir transporter un seul et unique équipement multifonctions, une statistique légèrement en deçà pour la France (16%).
• Le sondage a ainsi révélé que 52 % paieraient un supplément pour un appareil de type tout-en-un, tandis que deux sur cinq ont déclaré qu'un smartphone pliable leur faciliterait la vie.

Se débarrasser complètement de la technologie n'est bien sûr pas la solution, et 1 sondé sur 3 déclare qu'il serait perdu sans ses équipements ; en France, seulement 17% le concède ! et si près de 20% de nos voisins voient leur vie tourner autour de la technologie, nous ne sommes que 6% en France a penser ainsi. Une fois encore, les sondés français manifestent une forme de détachement technologique… sans toutefois renoncer tout de même à s'alléger pendant leurs trajets.