Bruxelles est favorable à un 4ème opérateur en France
L’appel d’offre, concernant l’acquisition d’une quatrième licence 3G en France, fait débat dans l’hexagone, mais également au sein de l’Union européenne.
Alors que les 3 opérateurs historiques sont catégoriquement opposés à l’arrivée d’un nouvel acteur, sur le marché français du mobile, le président de la République, Nicolas Sarkozy, annonçait la semaine dernière, lors d’un petit déjeuner avec des députés UMP, qu’il était "sceptique et réservé" sur le choix d'un quatrième opérateur de téléphonie mobile.
- Bruxelles n’a pas tardé à commenter les déclarations du chef de l’Etat. Selon Viviane Reding, la commissaire en charge de la Société de l'information, un quatrième opérateur mobile, sur le marché français, permettrait d’accroître la concurrence.